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Abstract |
Habitat types were classified in a semi-arid nature reserve in South Africa in order to assess the spatial requirements of resident ungulates, namely zebra, wildebeest and impala. Multivariate analyses showed patterns of soil factors and plant species associations that corresponded with variations of local geological formations and the abundance of plants. The response of ungulates to habitats of different degrees of complexity in terms of soils and plant species associations was examined on the basis of annual occurrence. New habitat types were described through merging or subdividing the existing classification. New habitat categories which corresponded with high occurrences of ungulates provided better indications of the resource requirements for large herbivores. Wildebeest were restricted in their habitat requirements and were characterized by high seasonal densities in bottom lands, particularly during the late wet period. There was a considerable overlap in the preference of habitat types between wildebeest and zebra although zebra were aggregated during longer periods within the dolerite formation. Impala had a consistent annual preference for the granite formation where seepage lines and bottom lands were inhabited seasonally by large herd concentrations.
Résumé
On a classifié les types d'habitat dans une réserve naturelle semiaride d'Afrique du Sud, dans le but d'évaluer les exigences spatiales des ongulés qui y vivent, c'est à dire les zèbres, les gnous et les impalas. Des analyses multivariées ont révélé des schémas pour les facteurs du sol et pour les associations d'espèces végétales qui correspondent aux variations des formations géologiques locales et à l'abon-dance des plantes. On a examiné la réponse des ongulés à des habitats de complexité différente en termes de sols et d'associations d'espéces végétales, d'après leur présence annuelle. On a décrit de nouveaux types d'habitats en fusionnant ou en subdivisant la classification existante. Les nouvelles catégories d'habitats qui correspondaient à des présences abondantes d'ongulés ont fourni de meilleures indications sur les ressources exigées par les grands herbivores. Les gnous se limitaient aux endroits qui répondaient a leurs exigences et se caractérisaient par de hautes densités saisonnières dans les régions basses, spécialement pendant la dernière saison des pluies. Il y avait un recouvrement considérable des types d'habitats préferés par les gnous et les zébres, encore que les zébres se rassemblent plus longtemps dans la formation doléritique. Les impalas marquent une préférence annuelle constante pour la formation granitique où les sources et les terres basses sont occupées de façon saisonnière par des hardes très concentrées. |
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